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Depuis les trois petits cochons de Walt Disney, les
formes rebondies des porcins ou l’image peu enviable du cochon
en font un personnage plein de caractère pour la bande dessinée.
Ses rondeurs sont plutôt faciles à dessiner. La ligne
du front et du nez concave, les bajoues, les grandes oreilles lourdes
et tombantes, ainsi que les petits yeux sont des bons points d’exagération. |

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Les morceaux du porc. On
ne peut pas faire plus simple. Finalement, charcutier, c’est
un métier facile ! |
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Tout en rondeur, le cochon est une
tire-lire de choix. |

Tête de truie. Comme
toutes les têtes de mammifères, la tête est formée
de deux volumes: le crâne et la face. Avec ses bajoues, la
face apparaît très volumineuse. Les yeux sont placés
à la césure des deux volumes. Ils sont petits et en
amande. |
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Le porcelet. Pour
dessiner un porcelet, il suffit de lui donner les attributs «
enfantins » classiques:
1. Une grosse tête par rapport au corps.
2. Un crâne proportionnellement important avec un niveau des
yeux abaissé en conséquence.
3. Un petit groin. |
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Les races de cochon. Si
on souhaite refléter la variété de l’espèce
cochonne, on peut en tacher certains de noir et varier le port des
oreilles. Certaines races ont les oreilles tombantes comme des visières
de casquettes et d’autres ont les oreilles dressées. |
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Des cochons expressifs (Jean-François,
à gauche, et Franck, à droite). |
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